Présentation | Générique | Presse | Photos

Lulu-Love-Life (a sweet tragedy)

Extraits de presse :


Lulu au pays des images
Sous-titré Little sweet tragedy, Lulu/Love/Life campe le désarroi d’une époque où les sentiments sont devenus incongrus et où les humains, pas tellement différents des machines qu’ils contrôlent, poussent jusqu’à l’absurde le bouchon de leur existence dérisoire. Haché au rythme d’accents rock mâtinés de blues, le texte a le tranchant d’une lame de couteau. Un désir douloureux d’amour absolu y bat entre deux rafales de violence […]
Kitch et toc omniprésents, tant dans le jeu des personnages qui mêle parodie, emphase et distanciation, que dans les décors, les costumes et les couleurs.
[…] Francine Landrain a décidé de faire une mise en scène éclatée, frénétiquement éparpillée, menée au rythme rock de Denis Pousseur, un spectacle qui veut rendre compte de la désagrégation des rapports humains, de la perte du sens, de l’affolement général dans lequel nous vivons. […]
L’écriture proprement dite de Lulu/Love/Life est traversée par le morcellement, la rage et la violence mais aussi, au cœur de ces silences, par une émotion contenue d’une grande poésie.
Sabrina Weldman In La Cité, 14/03/1991

 

Une histoire humaine Francine Landrain crée son « Lulu/Love/Life ». Avec François Sikivie… et Claude Etienne
Manifestement, le laboratoire liégeois a donné naissance à une génération de comédiens et de metteurs en scène avec lesquels il va falloir compter en cette fin de siècle.
Jean-Marie Wynants In Le Soir, 27/02/1991

 

[…] Lulu/Love/Life, une plongée dans  un monde où l’image règne tel un ogre sur l’ordre d’un monde où tout s’achète et se vend. Une invitation sans complaisance à rebrancher nos machines mentales et à écouter les solitudes parallèles d’une bande de personnages nés d’un accouplement monstrueux entre Hollywood, Big Brother et l’audimat. Un projet d’autant plus excitant qu’il mettra aux prises une brochette d’acteurs venus d’horizons divers […] Un choc des styles et des générations en prévision.
In L’Instant, 21 au 27 février 1991

 

Lulu lâchée dans le monde livide
Francine Landrain y parle de la perte de l’innocence, du struggle for life, du dégoût, de la révolte, de l’absolu, de la rédemption … dans un monde de production et d’argent, contrasté par un autre monde misérable. Il était une fois, dans des studios télés, d’où partent les mêmes images du monde qui inondent les maisons de tous les hommes … Il était une fois, une Lulu extralucide.
Claire Diez In La Libre Belgique, 13/02/1991